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May 17 2019 08:18am
Clarifications sur mon état




Ce matin du vendredi 17 mai 2019, vers 10h, un agent immobilier a sonné à la porte de la maison de mes parents. J'étais seul dans la maison, et je suis allé ouvrir. Il m'a demandé si j'étais Monsieur ZERBIB, et si la maison était à vendre. J'ai répondu oui à la première question, et non à la seconde. Il m'a ensuite bombardé de nombreuses questions, et j'ai pris le temps de répondre à chaque question, avec des réponses fermées. Non, je ne connais personne dans les parages qui a le désir de vendre sa maison. Non, je ne connais pas cette agence immobilière, ils doivent me confondre avec mon père. Non, je ne sais pas, non je ne connais pas bien le quartier. Non, non, non et non. Oui d'accord, je veux bien parler plus fort, pour qu'il entende le son de ma voix.

C'est comme ça les gens en banlieue : ils nous bombardent de questions. Parce qu'ils sont très individualistes, et qu'ils prennent un malin plaisir à se lancer dans des joutes verbales à tout bout de champ. C'est fatigant, et épuisant, et c'est très désagréable. Ils me font souffrir, moi qui suis d'un naturel calme et doux. Moi j'essaye d'être une personne équilibrée, et eux ils me cognent, ils crachent dans la soupe, et ils m'en empêchent, par leur négligence et leur désinvolture pesantes.

Mais avant de vous parler de toutes mes mésaventures du quotidien, permettez moi de vous parler un peu de ma vie.

J'ai vécu en banlieue certes, au milieu de tout un tas de personnes individualistes. Les seuls qui croient que les banlieusards sont solidaires sont les personnes qui n'ont jamais quitté la grande ville à mon avis. D'ailleurs, lorsqu'une personne du milieu rural devient trop pauvre, la seule chose à faire pour elle, si elle ne sombre pas dans le suicide, c'est d'aller vers le milieu urbain. Expliquez moi alors où est la solidarité tant vantée du milieu rural, lorsque les pauvres sont envoyés sans manière vers les villes où ils auront des habits, et de la nourriture. La solidarité en milieu rural, ça se résume à un peu de compassion, un peu d'empathie, le tout dissimulé derrière un bombardement de questions nombreuses et variées.

J'ai vécu dans une famille juive, mais pas n'importe quelle famille juive. Mon père venait de nulle part, et ma mère venait de la région. Mon père venait littéralement de nulle part, et ce n'est que très occasionnellement que je voyais son frère ou une de ses sœurs. Ma grand-mère paternelle est venue passer du temps à la maison, pendant un moment.



I. Le el kaiminisme

La famille de ma mère, par contre, c'est une autre histoire. Elle est nombreuse et bon vivant : ils lancent des « léhayim » (bonne santé) à tout bout de champ. Ils chantent la vie qu'ils aiment tant. Et même leur nom de famille signifie « la vie » (El Kaïm). Ils chantent, ils rient, ils boivent, ils mangent, et ils font même de la magie, tout ça quand ils ne sont pas en voyage aux Etats-Unis. Ils sont vraiment très bon vivant. Moi ça me gonfle tout ça, parce que je ne trouve pas ma place dans cette communauté.

Moi, j'essaye d'être une personne équilibrée. Mais quand mon équilibre n'est pas bousculé par l'individualisme des banlieusards, il est bousculé par l'amour de la vie de ma famille maternelle. J'ai toujours l'impression de ne pas exister. Les Elkaïm, ils font de grands monologues dans lesquels ils parlent parfois un peu de moi. Et chacun y va de sa touche personnelle, pour faire à la fin un immense monologue familial. Ils n'ont pas du tout une façon de parler naturelle : chacun y va de sa pensée, et de ses connaissances, parfois erronées. Ils ont des raisonnements du type : « je crois ça parce que je sais ça ». Et ça ne finit jamais, il y a une infinité de surenchères possibles, parce qu'ils apprennent toujours davantage de choses, et qu'ils font toujours plus encore de spéculations.

Ils parlent de moi plutôt que de parler à moi. Ils disent qu'ils organisent une fête, et ils disent que je serai là, sans même me consulter. Et c'est moi qui doit faire l'effort de les interrompre pour dire si oui ou non je serai là. Ils font des fantasmes, et ils parlent à mon inconscient. Ils tentent de me manipuler à chaque instant.

Ils élaborent des projets dans lesquels ils spéculent sur ma participation ou non. Et c'est une lourde charge psychique qu'ils me mettent sur la tête. Ils me forcent indirectement à participer à leurs nombreux projets : fête des mères, anniversaires, Noël, fêtes religieuses... Ma mère dit parfois « le plaisir de ta grand-mère, c'est d'inviter des gens et de passer un bon moment ». Moi je trouve que c'est là un drôle de passe-temps.

Si je veux me soustraire à une participation, il faut lutter : je dois les interrompre dans leurs monologues. Lorsqu'ils sont peu nombreux, c'est encore faisable. Mais lorsque les El Kaïm sont 3 fois plus nombreux que les autres, alors là ça devient mission impossible. Et ils sont nombreux les El Kaïm : mes 2 grand-parents, les 3 de la famille de Claude, les 4 de la famille de Mylène, et les 5 de la famille de Marc. C'est mal vu de se soustraire à une invitation dans la famille.

Ils aiment spéculer, et nous entraver par leurs spéculations. Et c'est très pénible à la longue, je trouve même ça déshumanisant. Et quand je le leur dis, ma grand-mère répond « mais non ! » et elle se contente de jeter un petit rire triste. Les filles vivent dans l'hystérie, et les garçons jouent les gardiens de prison. C'est la façon de vivre El Kaïm.

Ca se répand, le el kaiminisme. Les époux.se de Marc, Mylène et Claude en font partie. Le el kaiminisme exclut les gens, et si on veut faire partie de la famille, il faut alors se soumettre à ce système où on est entravé par les spéculations de l'un ou l'autre des membres de la famille. Et c'est très pénible, et très lourd à la longue.

Si encore les réunions étaient agréables, ça ne serait pas un problème. Mais non, les réunions sont sauvages et peu cordiales. Chacun y va de sa spéculation, chacun y raconte son anecdote. Et il y en a qui pleurent, et d'autres qui rient. Ils écorchent les mots. Ma grand-mère considère obstinément que certains mots sont masculin et d'autres féminins, mais elle se trompe. Ma mère, elle, elle utilise mal des mots comme « justement », pour s'accaparer le fil de la discussion. Ils font des tromperies et des supercheries, et ils ont même recours à la magie pour y arriver. Mon oncle Marc et son fils David sont de très bons magiciens. Mais ça contribue encore à squatter le fil de la discussion.

Je me souviens d'une soirée, chez ma sœur, où mon cousin David à un moment de la soirée s'est écrié : « tout le monde dehors sur la terrasse, le tour de magie va commencer ». Et il a fait le tour de l'appartement pour demander aux gens de sortir. Ce n'est pas comme si il avait proposé un tour de magie, non il a ordonné aux gens d'y assister. Et moi, j'ai refusé (je n'ai pas pu simplement décliner une proposition, parce que c'était un ordre qui était donné). Est-ce qu'ils sont impolis ? Est-ce qu'ils sont maladroits ? Ou est-ce qu'ils sont juste autoritaires ? C'est difficile de savoir...

Le el kaiminisme use et épuise les gens. Et il est souvent barbare et cruel.

Ma famille n'a pas fait exception. Mon père est devenu petit à petit un bourreau, et ma mère est restée une femme un peu hystérique et autoritaire qui écorche les mots. Elle appelle régulièrement mon père à la rescousse, comme si il était une extension de sa propre chaire.

Est-ce qu'ils sont individualistes, les El Kaïm ? Oui. Chacun a ses petits projets, chacun a ses petits objectifs. Et chacun ne regarde que ses petits pieds. Ma tante Mylène veut avoir une belle famille, et elle veut que ses enfants s'épanouissent bien. Elle m'a même appelé à la rescousse pour chanter une berceuse à ses enfants, et je me suis exécuté. Parce que après tout, ce n'est qu'une berceuse, n'est-ce pas ? Oui, mais ce n'était pas n'importe quelle berceuse : c'était celle que ma mère me chantait le soir. Et je n'avais pas forcément envie de la chanter à ses enfants, parce que c'est assez personnel, en vérité, une berceuse. Et elle, est-ce qu'elle a été reconnaissante au moins, que je lui partage cette superbe berceuse ? Non, elle n'a jamais vraiment été reconnaissante. Comme si ce qui est immatériel n'avait pas de valeur. Comme si les chocolats qu'elle m'offre pour Noël étaient infiniment plus précieux.

Dodo mamour...
dans un tourbillon d'amour
endormez moi cet enfant
dans une chambre
pleine d'amandes
un marteau pour les casser
et un Mickael pour les manger

Cette chanson est tellement pleine d'amour, comparativement à l'individualisme de ma tante Mylène, que c'en est risible.

C'est donc dans cette famille que j'ai vécu. Une famille qui n'hésitera pas, plus tard, à m'envoyer me faire soigner par une médecine psychiatrique rétrograde (de façon générale, la médecine est symptomatique, mais c'est particulièrement inquiétant dans le cas de la psychiatrie ; la psychiatrie, c'est un trouble dans notre interaction avec notre environnement ; c'est donc une science moitié médicale moitié sociale, et les psychiatres devraient être formés à la sociologie à mon avis).

C'est comme ça qu'ils sont les El Kaim : tantôt ils nous charment, tantôt ils se confrontent à nous, et tantôt ils abattent leur couperet.

Une anecdote dont je me souviendrai toute ma vie, c'est la suivante : j'étais chez ma grand-mère, dans la cuisine, avec mon cousin David, qui a environ mon âge. Et David, devant moi, a soudainement dit : « tu es ma grand-mère préférée, parce que Manou je l'aime moins que je ne t'aime toi ». Moi je n'ai rien répondu. Et ça a laissé entendre que cette grand-mère n'était pas ma préférée. Et c'était la vérité : j'aimais autant chacune de mes deux grand-mère. Et cette équité, ce souci de justice que j'avais a soudain été humilié. Soudainement, il y avait un malaise en moi, à cause de mon cousin. Je me sentais mal vis-à-vis de ma grand-mère, de ne pas lui dire qu'elle était ma grand-mère favorite...

Ce cousin, je m'étais mal entendu avec lui quelques mois plus tôt. Et il avait été charmant. Alors qu'il avait 10 ans, il m'avait un jour tendu la main en me disant : « on fait la paix ». Comme si on avait été en guerre, comme si il avait une réelle hostilité à mon égard. Et cette demande de paix, je l'avais acceptée. Mais je m'étais dit que ce bonhomme était dangereux, si il était capable de voir la guerre dans de petites querelles d'enfants.

Mon cousin David est un vrai gentleman, et vraiment intelligent et diplomate, mais pas dans le bon sens du terme. Il est rusé plus qu'il n'est bienveillant, et c'est regrettable.

C'est donc dans cette famille que j'ai vécu. Une famille d'abord relativement équilibrée, et qui est doucement tombée dans le el kaiminisme.

J'ai donc passé une bonne partie de mon enfance à souffrir, parce qu'on m'imposait des discussions bizarres. Des conversations souvent violentes, dans lesquelles je n'avais pas mon mot à dire, et qui décidaient de mon sort. Il me fallait être sage si je ne voulais pas finir dans un mauvais endroit. Et malgré mon exemplarité, je subissais de mauvaises choses. Il y avait du bruit, et de la confusion, et de la peur, et des rires.

Aujourd'hui, ma cousine Sarah, ma partenaire dans ces tristes moments d'isolement, dit qu'elle a une amnésie rétrograde des moments de son enfance. Elle dit qu'elle a de gros trous noirs.

Et ça ne m'étonne pas, car dans chaque fête, il y avait du bruit, et beaucoup de confusion, et de la peur, et des rires.

Il y avait aussi du scrupule et de la honte : la honte de ne pas dire à ma grand-mère qu'elle n'est pas ma préférée, notamment. La honte de me chamailler avec mon cousin, par exemple.

C'est dans cette famille que j'ai grandi, loin de ma grand-mère paternelle et plus encore de mon grand-père paternel, sans que personne ne s'en souciât vraiment.
Mon grand-père paternel est mort en 1993, soit quelques mois après ma naissance. Blessé par des insultes et des « sale juif », il a fini par se laisser mourir, handicapé par une bagarre qui a mal tourné.

C'est pour lui que je fais tout mon possible pour être propre. J'adore nettoyer les choses, j'adore nettoyer ma maison, parce que je n'ai pas envie qu'on me dise que je suis un sale juif. Je suis juif peut-être, mais pas sale Moi, j'adore la propreté !

J'ai vécu mon enfance en étant sage, calme, et immobile, par crainte qu'on ne m'envoie à l'armée comme mon cousin Charles. Et dans un environnement bruyant et hostile, où les gens ne s'expriment pas correctement, et où ils coupent la parole à l'autre pour se faire entendre, et où ils spéculent, et où ils imposent des choix aux enfants. Il y a toujours eu un énorme contraste entre mon attitude et mon environnement. Une bonne attitude pour un mauvais environnement. Je vivais dans le totalitarisme, et la peur, et l'incompréhension, et la crainte.

Et tout ça, ça m'a fait très mal à la tête.

On m'a appris à être sage et passif en milieu hostile. Et forcément, ça fait mal à la tête, et peut-être que ça déclenche des maux de tête.



II. La lutte

Lutter contre le elkaiminisme, c'est comme faire le mythe de Sisyphe. On y croit, on avance, on progresse. Et finalement, tout retombe à zéro. Mon père a lutté un long moment contre ça, mais il a fini par se résigner.

Il faut bien comprendre que les racines idéologiques du elkaiminisme sont très puissantes. C'est la vie elle-même. C'est parce que des personnes aiment la vie qu'elles accomplissent certaines choses. L'amour de la vie sert à justifier l'individualisme le plus fort. Ces personnes ont de la haine : elles prennent ce qu'on a à offrir. Et elles s'en servent contre nous. Elles ont peu d'empathie, peu de compassion, et peu de reconnaissance. Elles sont peu dignes de confiance.

Et on ne peut pas vraiment les vaincre sur le plan idéologique. Sur le fond, ces personnes ont raison : la vie c'est bien, et il faut se battre pour ça. Mais sur la forme, elles ont complètement tort.



III. L'intelligence

Quand on me regarde, on pourrait croire que je suis une personne intelligente : je suis grand, je suis beau, je suis courtois, j'ai réussi ma PACES du premier coup.

En vérité, je ne suis pas très intelligent. J'ai été intelligent à une époque, mais je ne le suis plus aujourd'hui.
J'ai beaucoup été tourmenté dans ma vie. Par mon père d'abord, parce qu'il ne voulait pas que je me chamaille avec mon petit frère. Et parce que je n'étais pas d'accord avec son individualisme, et que je me rebellais.
Par mon beau-frère ensuite. Parce qu'il monopolisait l'attention de ma mère, et qu'il me privait d'elle et de son amour. Et parce qu'il monopolisait mon attention, en appelant incessamment ma mère.

Dans la communauté ashkénaze, il y a une grande variance des quotients intellectuels. Et je ne fais pas partie de cette communauté. Mais je crois que mon beau-frère ashkénaze a fait des trucs d'ashkénazes, et qu'il a contribué à diminuer mon quotient intellectuel et celui de ma mère.

L'individualisme fait diminuer le QI de l'entourage à mon avis. Et mon beau-frère comme mon père sont des personnes individualistes qui ont fait diminuer mon QI je pense. Je pense aujourd'hui que mon QI tourne autour de 80 ou 90 seulement.
Et les rares personnes que je connais avec un QI élevé fument beaucoup, ce qui ne m'incite pas à vouloir monter mon QI.

J'ai échoué mes études à 6 reprises, et ça témoigne il me semble de ma faible intelligence, contrairement à ce que certains peuvent croire.



IV. Mes douleurs

J'ai mal à la tête.
Comme dans la chanson de Aya Nakamura.
Tout cet individualisme :
  • rural
  • ashkénaze
  • paternel & elkaimien (combinés, car mon père veut que j'assiste aux réunions de famille)


Tout cet individualisme finit par causer chez moi de vrais douleurs physiques. Et j'ai du mal à les supporter. J'ai des douleurs neuropathiques à la tête.

Ca m'a fait mal à la tête.
Qu'est-ce que tu faisais ?
Tu sais j'm'inquiétais...
J'suis rempli de haine
J'suis rempli de peine
J'ai mal à la tête...
Tu m'as fait mal à la
Ouh bébé dis moi où t'étais
Qu'est-ce que tu faisais ?
Tu sais j'm'inquiétais...
J'suis rempli de haine
J'suis rempli de peine
J'ai mal à la tête...





V. Conclusion

Ce dont j'ai vraiment besoin, ce n'est pas d'un psychiatre : c'est d'un neurologue. J'ai besoin d'un traitement peut-être par la morphine, pour me soulager de mes douleurs.

http://sante.lefigaro.fr/article/douleurs-neuropathiques-ou-inflammatoires-les-distinguer-pour-mieux-les-soulager/

Je ne me sens pas capable de travailler à temps plein, et je préférerais travailler à mi-temps. Et si la médecine ne me reconnaît pas ce droit, alors je ferai peut-être un métier très simple comme jardinier. Ou alors je m'aiderais de l'aide de ma famille pour subsister. Et c'est quelque chose qui m'angoisse, parce que mon père, et ma famille côté maternel ont tendance à être individualistes.

https://anonfile.com/J7UeU1r9n2/clarifications_odt

This post was edited by Chevaucheur on May 17 2019 08:23am
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on a tous le droit a un peu de haine
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Quote (Melatonina @ May 17 2019 04:43pm)
on a tous le droit a un peu de haine


la haine s'arrête là où commence la violence, même verbale/implicite (psychique)
et il est question de violence ici, pas de haine
<_<

Jack Ma & Winston Churchill sont d'accord sur un point: il faut faire de nombreuses défaites avant de réussir

Quote (Winston Churchill)
le succès, c'est d'aller d'échec en échec sans perdre son enthousiasme


Quote (Jack Ma)
nous réussirons lorsque nous aurons fait 10 000 erreurs


https://www.facebook.com/brutofficiel/videos/427357144727868/

This post was edited by Chevaucheur on May 17 2019 08:58am
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Quote (Troll @ 17 May 2019 17:21)
on s'en bat les couilles


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Quote (Melatonina @ May 17 2019 02:43pm)
on a tous le droit a un peu de haine


Batard je voulais la faire
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May 17 2019 03:39pm
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Tu mens ; j'vais pas lire tes messages.
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Quote (harg @ May 17 2019 04:52pm)
Batard je voulais la faire


xD

Quote (Clockstomper12 @ May 17 2019 10:39pm)
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Tu mens ; j'vais pas lire tes messages.



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May 18 2019 06:30am
Plus c'est long plus c'est bon en général mais là...
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Quote (Chevaucheur @ 18 May 2019 22:08)
I said CIA was noob
And CIA downed jsp as a vengeance perhaps


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